Les premiers contacts que
l'on a avec sa façon de courir ou de tout simplement faire de l’activité
physique reposent sur les sensations physiques. Les muscles sont sollicités à
chaque foulée et chaque mouvement et la respiration, elle, l'est en tout temps.
La respiration comprend plusieurs actions
respiratoires comprenant chacune une inspiration
(action de faire entrer de l’air dans nos poumons en aspirant) et une expiration (action de faire sortir de l’air
de nos poumons en la rejetant avec un souffle).
Cette
dernière (respiration) permet de rejeter des ‘déchets’ tel le gaz carbonique, qui
est un composé que la respiration rejette en grande quantité, et de récupérer
l’oxygène qui va ensuite être dispersée dans l’organisme pour ‘enrichir’ (apporter
l’énergie) le sang. L’oxygène qu’elle absorbe suit un parcours précis pour se
rendre aux alvéoles qui vont ensuite distribuer l’oxygène au sang. Cela va
fournir de l’énergie (http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-la-respiration-1045.asp). Pendant
un effort physique, les muscles ont besoin de plus d'oxygène qu'au repos, bien
évidemment. En conséquence, les rythmes cardiaque et respiratoire accélèrent
pour aider et répondre aux besoins de l’organisme. Cela veut dire que les
poumons ont besoin de plus d’oxygène alors le rythme respiratoire et cardiaque
se doit d’augmenter. À chaque respiration, les poumons absorbent un volume
d'air plus important et chaque pulsation du cœur envoie dans l'organisme plus
de sang qu'au repos puisqu’un effort demande plus d’énergie. De cette manière,
l'augmentation des débits d'air et de sang permet à l'organisme de soutenir
l'effort et d’adapter celui-ci aux types d’efforts divers.
Olivier Bouchard